Echafaudage + : une subvention pour protéger les salariés du secteur du...

Echafaudage + : une subvention pour protéger les salariés du secteur du BTP

Pour protéger la santé des salariés du secteur du BTP, l’Assurance Maladie – Risques professionnels propose aux entreprises de moins de 50 salariés la subvention Echafaudage +.

L’objectif est de réduire les risques de chutes de hauteur.

Quels sont les risques professionnels concernés ?

Pour réduire les risques liés aux chutes de hauteur, l’Assurance Maladie – Risques professionnels vous aide dans l’achat d’équipements adaptés. Le choix de ces équipements répond à des situations de travail particulièrement exposantes.

Quelles sont les entreprises éligibles ?

Cette subvention est destinée à toutes les entreprises de 1 à 49 salariés relevant du régime général de la Sécurité sociale et particulièrement celles des secteurs et métiers du bâtiment et des travaux publics.

Certains établissements comme les organismes de formation « Echafaudages » ou relevant de la fonction publique peuvent ne pas être éligibles à cette aide. Renseignez-vous auprès de votre caisse régionale (Carsat, Cramif ou CGSS).

Quel est le montant de la subvention et les équipements financés ?

La subvention Echafaudage + permet d’aider l’entreprise à financer de nouveaux matériels de montage et démontage en sécurité :

  • un échafaudage de pied admis à la marque NF ;
  • un échafaudage roulant admis à la marque NF (limité à 3 unités), répondant aux critères précisés au cahier des charges.

En option 1, les entreprises peuvent bénéficier d’une aide à l’achat d’une remorque avec rack pour le transport des échafaudages.

En option 2, les entreprises peuvent bénéficier d’aide à l’achat d’escaliers d’accès (limité à 5 volées, de hauteur 2,25 m environ).

Les 2 options sont cumulables et obligatoirement associées à l’achat d’un échafaudage.

Pour connaître le montant de la subvention Echafaudage +, renseignez-vous auprès de votre caisse régionale (Carsat, CGSS, Cramif). Elle est plafonnée à 25 000 euros.

Source : www.ameli.fr